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Yannick et Zacharie, 1983
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Yannick et Zacharie, 1983

Serge Philippot

joie Noah Roland Garros Tennis

Un mot sur l'oeuvre

( REF : SPHI004)
Tous les français en âge de le faire se souviennent ce qu’ils faisaient, où ils étaient, en cet après-midi du 5 juin 1983. Il y a des moments comme ça, où, que l’on aime ou pas le sport, on ne peut pas ne pas être au courant. Il y a des jours comme ça où la télé, la radio ou simplement les autres vous ramènent à l’évènement et vous happent.

Yannick Noah, vainqueur de Roland Garros, retrouve son père Zacharie descendu sur le central

Le témoignage de Serge Philippot

Pour la fin du set et peut être du match, je m’étais posté sur les premières marches de l’escalier qui accède aux loges, pas loin de celle de la famille Noah. Je ne sais pas si c’est l’irruption du jeune homme (qu’on voit entre le père et le fils) qui a déclenché l’envahissement du court.
Mais je sais juste que, un dixième de seconde plus tard, masqué par la foule qui avait suivi, je ne pouvais plus rien faire.

Le choix de Jean-Denis

Après une victoire pareille il reste des images, en particulier celle-ci de Serge Philippot, celle que tout le monde a vue mais dont personne ne se lasse. Une joie débordante et communicative, Zacharie son père qui saute sur le central, leur émouvante étreinte sur fond d’envahissement du court.
On ne sait plus si Yannick rit ou s’il pleure. Il est là-haut tout là-haut perché sur son nuage.
On regarde cette photo, les souvenirs affluent, et l'on ressent de nouveau la sensation d'avoir partagé cette joie démente.
Moins étouffant qu’une madeleine, mais même effet garanti.