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L’heure de la diva
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L’heure de la diva

Bruno Aveillan

B&W NB Roland Garros Serena Williams

Un mot sur l'oeuvre

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Chaque année la Fédération française de Tennis donne carte blanche à un photographe de renommée internationale pour raconter à sa manière le Tournoi de Roland Garros, ce qu’il retient de sa dramaturgie et de son âme.

Pour l’édition 2015, ce fut Bruno Aveillan. Ce travail réalisé pendant la préparation et le déroulement de l’évènement a donné lieu à un livre (disponible à la galerie) et à une exposition qui a eu lieu dans nos murs du 15 mai au 15 juin 2016.

Le témoignage de Bruno Aveillan

L’exercice m’intéressait, je voulais proposer un regard plus intimiste, plus introspectif. Un complément à ce qui se fait comme images chaque année. La fait que la direction du Tournoi m’ait autorisé à accéder à des lieux normalement interdits m’a aussi aidé et je les en remercie.

J’aime Roland depuis toujours. Je sais très bien où j’étais et ce que je faisais quand se déroulaient certaines finales, Noah 1983 ou Chang 1989. Cet événement rythme nos vies.

J’ai adoré vivre l’événement et raconter en images cette institution. Il y a dans ce genre de manifestations, une forme de protection de la tradition, de résistance à une certaine accélération qui participe au charme.

Dans ce contexte si particulier, lorsque vous avez l’oeil dans le viseur, s’inscrivent immanquablement des images que vous avez déjà vues. J’ai souhaité autant que possible dépasser les évidences et privilégier un regard plus en contrepoint.

Or instinctivement, j’ai toujours considéré que le Noir et blanc était un formidable vecteur d’émotion que ce soit dans le domaine de la photographie documentaire ou plasticienne.

Le choix de Jean-Denis

Un traitement très original d'un événement dont l'iconographie est très abondante et de grande qualité. Malgré tout, Bruno Aveillan renouvèle le genre.
Il est parfois dans le traitement documentaire, happé par la dramaturgie et la puissance émotionnelle dégagée, mais le plus souvent aussi dans l'esthétique pure, la plastique du lieu, l'interprétation de détails. En cela, il nous fait découvrir un Roland Garros que nous n'avions jamais vu.