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Gilles
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Gilles

Lionel Froissart

Formula 1 villeneuve

Un mot sur l'oeuvre

8 mai 1982
Grand Prix de Zolder, Gilles Villeneuve se concentre.
La course où le pilote a trouvé la mort.

Le témoignage de Lionel Froissart

Il régnait ce weekend là, une atmosphère pesante dans le stand Ferrari. Quinze jours plus tôt, à Imola, Didier Pironi et Gilles Villeneuve, s’étaient quittés fâchés en descendant du podium. Villeneuve, dont la loyauté était indiscutable, s’était senti trahi lorsque celui qui, quelques heures plus tôt était encore son ami, lui avait « volé » la victoire.
Depuis les deux anciens complices ne se parlaient plus et tous les observateurs du paddock en étaient désolés. Gilles Villeneuve était arrivé en Belgique très remonté, bien décidé à faire payer son affront à son coéquipier français et à le battre coûte que coûte.
A l’époque, je me déplaçais sur quelques grand prix - pour le compte d’Auto Hebdo - pour y faire quelques photos sans aucune autre ambition que celle de me faire plaisir. Je n’ai jamais été un fan de la Scuderia et de ses intrigues, mais j’avais beaucoup d’admiration pour la bravoure et la générosité que le petit Québécois mettait dans son pilotage. Aussi, le samedi matin des derniers essais j’avais décidé de ne pas trop m’éloigner du stand italien et surtout d’observer Gilles - on ne disait pas Villeneuve à l’époque pour savoir à qui on faisait référence. Autant il se montrait flamboyant et explosif derrière le volant, autant il était d’un calme olympien en dehors. a Zolder, cette impression était renforcée par la colère froide qu’il l’habitait alors.

Le choix de Jean-Denis

Une photographie simple, banale, mais qui prend une toute autre dimension quand on en connait l'histoire.