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Lilian Thuram
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    Signés par tampon sous le contrôle de Nina Gripe, fille et ayant droit de l'auteur.


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Lilian Thuram

Patrick Gripe

Afrique football Gripe portrait Thuram

Un mot sur l'oeuvre

( REF : PGRI004)
Juillet 2006, quelques jours après la finale de la coupe du monde et peu avant de rallier son tout nouveau club le FC Barcelone, Lilian Thuram se recueille devant la "porte du non-retour" édifiée en 1995 sur la plage de Ouidah, au Bénin. Un lieu de mémoire majestueux et émouvant où les esclaves embarquaient pour les Amériques et les Antilles depuis la côte africaine.
Il réalise son souhait de venir en Afrique, en quête de ses racines. Un cheminement personnel, introspectif, interrogatif sur la négritude, mais aussi associatif : il vient en effet comme ambassadeur de la lutte contre la drépanocytose, une maladie génétique qui touche beaucoup les Antillais. Un voyage qui le mènera au Sénégal à Dakar, puis en Afrique du Sud à Johannesbourg, puis au Bénin, à Cotonou et à Ouidah donc, puis au Togo à Lomé. A chaque ville, il visite des hôpitaux ou dispensaires. Et très peu de football...
Le sujet dont est extrait cette image a été réalisé pour L’Equipe magazine et publié le 5 août 2006 avec comme titre de couverture: "Lilian Thuram, le voyage en Afrique“.

Le témoignage de Patrick Gripe

Témoignage de Françoise Inizan, grand reporter à L’Equipe magazine.
Sur cette longue plage d’Ouidah, où Lilian Thuram s’était rendu, Patrick Gripe avait choisi de se poster à distance de son sujet. Il avait donc laissé le joueur se recueillir, seul, sous la «Porte du non-retour», le célèbre mémorial des esclaves déportés aux Amériques.
Il l’avait laissé marcher loin sur le sable ocre et vaquer à ses pensées. Comme toujours, il s’était effacé de la scène jusqu’à se rendre invisible. La discrétion de son oeil rond -dans un visage rond-, qui donnait un regard photographique si aigu... Et comme toujours, il avait réussi à saisir l’émotion du moment. Celle d’un Thuram méditatif et bouleversé.

Le choix de Jean-Denis

Un portrait à la Patrick Gripe, toujours façon reportage, à l’insu du sujet pour conserver le naturel et l’authenticité de la situation. Un regard très pudique, pas du tout intrusif et surtout qui n’oblige pas l’auteur à établir une relation avec son sujet. Patrick était un grand timide et n’était jamais à l’aise avec les portraits organisés. Il en résulte une image forte qui dégage beaucoup d’émotion. Difficile de rester insensible.